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Vol au départ de Paris pour Hanoï.
Nous consulter à la réservation pour un départ de province. Supplément de 120 € minimum s'il s'avère possible.
Le Nord Vietnam est une région sauvage, peu parcourue, éloignée et certainement celle où les traditions sont restées les plus vivantes. Dans ces confins aux paysages étonnamment variés, les balades et marches à la journée permettront de s'immerger dans la beauté sauvage des montagnes du Haut Tonkin, entre rizières étagées et pitons karstiques transpercant le ciel. Les nuits chez l'habitant seront autant d'occasions d'échanges et de rencontres avec toutes les minorités peuplant ces montagnes escarpées : Tay, Hmong, Nung... La visite de marchés, comme celui de Dong Van, ravira les voyageurs curieux, amateurs de beaux costumes et d’ambiances colorées. Fin du voyage en apothéose avec une croisière longue, au parcours original, dans la baie d'Halong.
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Les + Tirawa
Votre voyage
Un voyage sans grande difficulté, qui s'adresse à des personnes aimant faire de courtes marches (entre 2 et 5h avec un dénivelé maximum de 500 m). Au programme, 1 randonnées de 2 jours à laquelle s'ajoute quelques balades. Les marches se font sur des sentiers bien tracés.
Itinéraire jour par jour
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Accueil à l’aéroport par votre guide et installation pour 2 nuits à l’hôtel, situé dans le cœur historique de la ville. Selon l’horaire d’arrivée, déjeuner en ville et dans l’après-midi, premières découvertes du centre-ville : quartier des 36 corporations, temple de la montagne de Jade, lac de l’épée restituée…
Le déroulement de cette journée peut varier selon votre heure d'arrivée.
Journée complète de découverte d’Hanoï, capitale du Vietnam et l’une des villes asiatique qui a conservé le plus de charme. Avec ses édifices coloniaux défraîchis, ses larges avenues ombragées, ses temples et pagodes paisibles souvent construites au bord de lacs, l’intense activité des ruelles, la circulation hallucinante des motos et scooters, cette ville mélange toutes les influences, toutes les histoires et séduit le voyageur averti. Passage près du mausolée d’Ho Chi Minh (vue depuis l'extérieur), le père de la nation, familièrement surnommé l’oncle Ho et vénéré par toutes les familles vietnamiennes ; visite de la pagode au pilier unique, du temple Tran Vu, de la Pagode Quan Thanh et du temple de la littérature, véritable havre de paix au cœur de la ville. Siège de la plus ancienne université du Vietnam, ce temple fut édifié en l'honneur de Confucius en tant que génie protecteur des lettres. Visite du passionnant musée ethnographique, créé en collaboration avec le musée de l’Homme de Paris, qui présente toutes les minorités du pays à travers une collection d’œuvres d’art et d’objets de la vie quotidienne.
Ce matin, nous démarrons une grande boucle de 9 jours à travers les montagnes du Tonkin. Enchantement des paysages et rencontres authentiques avec toutes les minorités peuplant les versants abrupts de ces massifs sauvages seront au rendez-vous chaque jour. Pour l'heure, départ matinal et route à travers la partie nord du delta du Fleuve Rouge. Arrivée dans les collines où les populations locales cultivent thé, oranges et mandarines. Premières maisons sur pilotis qui annoncent le monde des ethnies montagnardes. Puis, le relief se redresse et nous empruntons une route de montagne spectaculaire qui escalade les contreforts du massif du Tay Con Linh avant de basculer vers le village de Pan Hou. Installation dans un lodge plein de charme, parfaitement intégré dans le milieu naturel.Hébergement dans un éco-lodge construit par nos représentants au Vietnam. Formé par un ensemble de bungalows, le site de Pan Hou est niché au creux d’une vallée traditionnelle, avec cultures en terrasses et vieux villages. En dehors du confort que l’on peut attendre de ce genre d’établissement, un bâtiment abrite une salle de « bains » traditionnelle (bains aux herbes dans des sortes de tonneaux en bois). Des séances de massage sont proposées (en option, 15 usd environ, à régler sur place). Dans l'après-midi, balade dans les villages tays des alentours. Petite mise en jambe, au milieu des rizières étagées sur les flancs de collines. Durant cette balade, il est possible d’aller se rafraîchir sous une grande cascade, située juste au-dessus de Pan Hou.
Ce matin, nous entamons une marche de 2 jours, agrémentée d'une nuit chez l'habitant, pour nous enfonçer plus avant dans les montagnes du Haut Tonkin. Après le petit déjeuner, nous partons directement de notre lodge. Remontée de la vallée de la rivière Giang, au pays des Tay et des Yao à tunique longue. Nous sommes dans un environnement de villages avec habitat sur pilotis pour les Yao à tunique longue, comme pour les Tay. Ceux-ci sont des cousins des Thai, ceux que l’on retrouve au Sud du fleuve Rouge, au Laos, en Birmanie ou, bien sûr en Thaïlande. Ils sont les plus anciens occupants des lieux, et ont, de ce fait, les meilleures terres en fond de vallée. Le paysage s’ouvre progressivement, nous sommes dans la haute vallée de Nam Son. Montées et descentes se succèdent. Nous croisons beaucoup de villageois encore vêtus d’habits traditionnels. Le déjeuner se déroule chez l’habitant. Un cuisinier de notre équipe investit le fourneau en terre cuite et prépare le repas. La curiosité des enfants et des plus grands permet plus de contact, et bientôt, la réserve et la timidité de nos hôtes fait place à de bons moments de convivialité. Dans l'après-midi, nous atteignons le village Hmong de Ta Hio Pien et nous nous installons pour la nuit chez l'habitant.
Seconde journée de marche de cette première randonnée. Le sentier remonte la vallée d’un affluent de la rivière Giang. Passage à flanc de colline, à travers forêts et bambouseraies, pour atteindre les hauteurs de Yen Son, un village Yao Rouge. Après le pique-nique sur les berges de la rivière Giang, nous descendons les flancs de montagne, parmi les rizières en terrasse et les théiers. Arrivée au village de Pan Hou en milieu d'après-midi. Nous retrouvons notre lodge de charme, au coeur d’un jardin tropical. Temps libre pour se reposer, flâner dans le jardin tropical, profiter d'un bain traditionnel yao aux herbes médicinales (efficace pour évacuer la fatigue et se relaxer) ou se faire prodiguer un massage (option payable sur place, environ 15 €).
A Panhou, le bain chaud traditionnel est inclus dans le prix, pas le massage.
Dans la matinée, départ pour la ville d’Ha Giang en repassant le col qui domine Pan Hou. En vietnamien, de nombreux cols portent le nom de « cong troi » ou « porte du ciel » ; celui situé au-dessus de Pan Hou en est un bon exemple, souvent dans la brume, on a l’impression de monter au ciel ! Une descente vertigineuse, sur les pentes du massif du Song Chay, nous conduit dans la vallée d’Ha Giang, capitale administrative de la région. Nous devons aller nous enregistrer auprès des autorités et obtenir un permis pour le séjour qui va suivre car il se déroule tout près de la Chine. La proximité des frontières, surtout celle partagée avec le « frère ennemi chinois » représente pour les Viet une zone sensible. Nous reprenons la route et gravissons les pentes du plateau de Quan Ba, peuplé de Bo Y, une ethnie de langue Tay. A son extrêmité se trouve le hameau de Nam Dan, notre étape du jour. Balade dans les environs du village avant de s'installer pour la nuit chez l'habitant, accueilli par une famille Yao à Tunique Longue.
A partir de Nam dan, la route devient étonnante ! Etroite, escarpée, raide, elle se faufile dans des ensembles de pitons rocheux. Toute pente, même raide, est cultivée. Les H’Mong blancs et les H’Mong verts plantent du maïs absolument partout. Les Viet surnomment ces minorités les « chats », en liaison avec leur capacité à s’accrocher vraiment partout. Halte au marché de Mai So’n fréquenté par l’ethnie Bo Y. Nombreux stops sur la route pour prendre des photos et aller à la découverte de petits hameaux. Dans la bourgade de Sa Phin, visite du palais de l’ancien roi H’Mong : Vuong Chinh Duc. Cet ancien paysan vendait à l’administration coloniale l’opium produit par son peuple. Cette même administration, en échange de son allégeance, le fit couronner roi et lui construisit ce palais en 1902. Cette soumission à la puissance coloniale fut fatale aux H’Mong qui furent longuement persécutés lorsque Ho Chi Minh accéda au pouvoir. Arrivée à Dong Van, sorte de Far-West ou « Far North » devrait-on dire… Une rue, avec des bâtiments colorés, forme la ville. Installation dans un hôtel simple. La ville, outre sa position géographique dans cet ensemble karstique unique, offre un beau marché traditionnel le dimanche … et demain c’est dimanche ! Découverte à pied de Dong Van. Ce bourg perdu, à l’extrême nord du Vietnam, était un endroit stratégique à l’époque indochinoise comme en témoigne le fortin militaire. Dominant la ville depuis son piton rocheux, il avait vocation à la protéger de l’invasion des troupes des Pavillons Jaunes. Au sommet du piton, nous jouissons d'une vue sur tout le plateau de la "Splendeur de l'Est" et dominons une belle halle en pierre, construite à l’époque française, qui parait incongrue dans ce lieu isolé.
Lever matinal, car aujourd’hui… c’est dimanche … jour de marché à Dong Van. Sous le piton rocheux où se perche l'ancien fort français, la halle de Dong Van, datant également de la période française, abrite un marché frontalier où se côtoient les nombreuses minorités de la région qui sautent allègrement la frontière sans respect pour les réalités et impératifs politiques actuels. L’activité commerciale bat son plein, on achète provisions et petits cochons (qui servent de caisse d’épargne aux paysans), on festoie, on boit, on échange les derniers potins… Après le petit-déjeuner, départ pour une belle marche sur le plateau karstique de Dong Van. Le chemin passe par le flanc d'une falaise karstique qui surplombe l’impressionnante gorge de Nho Que. La vue sur les montagnes et la gorge est simplement magique. A la fin de cette balade, nous quittons Méo Vac et la province de Ha Giang en franchissant le Song Gam. La route est une succession de lacets, de montées et de descentes. On peut croiser en chemin des Giays, une tribu du monde thai. Taillée dans la falaise, la route surplombe les eaux de la Nho Que, encastrée dans une gorge profonde. Nous sommes ici sur une des plus belles routes du Vietnam aussi appelée la "route du bonheur". Nous suivons la rivière Nho Que puis la rivière Gam jusqu'à Bao Lac. Dans les environs de ce bourg, nous montons à Khoi Khuon chez les Lolos Noirs. Nous passons la nuit dans une maison d'hôte.
Ce matin, balade et rencontre dans le village des Lolos Noirs. Comme toujours pour les minorités, ce nom a été donné par les étrangers en fonction de la couleur dominante de leur costume. Leur nom d'origine est Yi, il s'agit d'une population tibeto-birmane venue du Yunnan au XVème siècle. Ces populations, pas assez guerrières, ont été anéanties par les envahisseurs Hmongs il y a deux siècles et sont demeurées sous le joug des Hmongs Noirs et des Tays dans les différents districts où elles étaient établies. L'originalité et l'élégance des femmes lolos a piqué la curiosité des stylistes épris de mode ethnique et en quête d'inspiration au début des années 2000. La population totale est d’environ 4000 personnes qui se divisent en deux groupes : les Lolo noirs et les Lolo bariolés. Ces appellations sont dues aux couleurs de leurs costumes traditionnels. Les Lolo vivent en hameaux dans des maisons sur pilotis construites dans des endroits hauts et secs, surplombant les vallées. Leurs villages, de taille plus importante que ceux des autres ethnies minoritaires, se composent de très belles maisons en bois et constituent de véritables musés vivants particulièrement intéressants à découvrir. Chaque lignée familiale Lolo comprend plusieurs branches dont les familles membres, très liées entre elles, habitent le même hameau. La fonction de chef de branche, toujours assumée par un homme, est fondamentale. C’est lui qui assure le culte des ancêtres, garantit la solidarité, conserve les tambours sacrés qui sont des instruments permettant la communication entre le monde des vivants et le monde des morts. Dans le courant de la matinée, nous reprenons la route et suivons une belle route de montagne qui nous amène à Cao Bang. Déjeuner en chemin. Arrivée dans l'après-midi et installation pour la nuit dans un hôtel simple. Peu de voyageurs s’aventurent dans cette région. La vente de bile d’ours par les rares auberges du coin est la spécialité locale ! Historiquement, Cao Bang est une étape intéressante car c'était une des bases stratégiques pendant la guerre en Indochine, une tête de pont difficilement accessible et l’un des points de passage vers la Chine toute proche. C’était aussi le terminus de la fameuse RC4, surnommée « la route sanglante ».
Ce matin, par une belle route de montagne, nous rejoignons en véhicule le point de départ de notre seconde marche de deux jours consécutifs. Depuis quelques jours, les rizières étagées ont laissé place aux pitons karstiques dressés dans le ciel. Notre marche commence. Nous arrivons à un premier village situé au pied des pitons. Très authentique, il est habité par l’ethnie Dao Rouge. De là, une montée soutenue pemet d'atteindre un col puis une courte descente nous mène au village de Say Chang où nous déjeunons. L'après-midi, montées et descentes se succèdent à travers les petits monts couverts de végétation luxuriante. Dans cette région peu propice à la riziculture, les habitants font pousser d'autres céréales et légumes : soja, haricots, maïs, cacahuètes... Finalement, nous arrivons à un joli village Nung situé au milieu des rizières et des monts karstiques. Nous sommes accueillis chez l'habitant pour la nuit.
Ce matin, avant de prendre la route, nous faisons une dernière balade pour aller découvrir 2 villages réputés pour la fabrication des baguettes d'encens et du papier. Puis, nous retrouvons notre véhicule. Route jusqu’à Dong Khe. Les 44 kms qui séparent Cao Bang de cette ville ont été le théâtre d’une des grandes tragédies de la guerre que les français ont mené contre le Viêt-Cong. En 1950, cette route était une piste, serpentant dans un capharnaüm de pics calcaires couverts de jungles et truffés de grottes, sillonnée par d’autres sentes qui ne sont que d’immenses coupe-gorges. Toute manœuvre y était impossible. Le 17 septembre 1950, c’est le coup de semonce : les Viet s’emparent de Dong Khe et coupent la RC4 en deux. L’évacuation de Cao Bang est décidée. Le colonel Chartron, un des « Dieux » de la Légion abandonne la ville et quitte la RC4 pour prendre une piste contournant Dong Khe avec ses 2000 civils et ses troupes. La liaison avec une autre colonne militaire venue à leur secours doit se faire à Coc Xa. C’est le rendez-vous de la mort. Cerné par le Vietminh, les 2 colonnes y sont anéanties le 7 octobre 1950. Seules quelques dizaines de personnes en réchapperont… Il est étonnant de constater que de nos jours ces évènements sont enfouis dans l’inconscient collectif. La vie dans les campagnes est toujours aussi immuable et une curieuse sérénité enveloppe ces vallées profondes ! Dong Khe est situé dans une cuvette, entourée de pitons calcaire. La route, qui mène d’abord à That Khe, se déploie entre des falaises percées de grottes. Poursuite jusqu’à Lang Son (80 km de That Khe) au milieu d’un beau paysage de pitons calcaires. Cette ville, comme beaucoup de villes frontalières, n'a pas beaucoup de charme … mais recèle quelques petites pépites que nous aurons peut-être le temps de visiter, comme la pagode des Immortels ou le marché Cho Dong Kinh. Hébergement dans un hôtel plus confortable que les jours précédents !
Cap au sud-est en suivant une grande route rectiligne qui mène à Tien Yen (100 kms) puis plein sud jusqu’à Cua Hong. Le paysage change, c’est surtout l’élément « eau » qui donne une toute autre ambiance. Nous sommes maintenant en bordure du golfe du Tonkin, aux portes de la baie d'Halong. Embarquement à Tuan Chau sur une jonque privatisée et confortable. Départ pour une navigation longue (2 jours effectifs répartis sur 3 jours et 2 nuits) à travers les karsts et îlots de la baie dont le nom signifie « Là où le dragon descend dans la mer ». Selon la légende, un dragon habitait la montagne. En rejoignant la mer, ses mouvements de queue créèrent les vallées et les pitons qui se remplirent d’eau lorsqu’il rejoignit les eaux émeraude du golfe du Tonkin. Ce site, aujourd’hui classé à l’UNESCO, est la merveille naturelle du Vietnam et d'emblée, le charme opère. Le bateau se faufile au milieu de pitons hiératiques, de forme et de taille en perpétuel renouvellement, sculptés ou creusés de grottes par l’eau et le vent. Mais la baie ne se limite pas à un paysage, c'est aussi un lieu de vie. Certaines îles sont habitées et de nombreux pêcheurs parcourent ses eaux ou s'installent sur des villages flottants pour pratiquer la pêche, l'élevage de poissons ou d'huîtres perlières. La jonque se dirige vers la grotte Ca. Temps libre pour nager ou faire un tour en kayak. Poursuite vers la magnifique baie de Lan Ha, à l'est de l'île de cat Ba. Nuit dans un mouillage tranquille.
La balade en kayak est facultative. Le parcours prévu dans la baie d'Halong est susceptible de modifications de la part des autorités vietnamiennes et cela sans préavis. Rassurez-vous, quelle que soit l'itinéraire de votre navigation, la magie opèrera !
Aurore et crépuscule mettent en scène des décors irréels. Des populations de pêcheurs nomades vivent de la baie et s'y rassemblent en villages flottants. Ce matin, nous débarquons sur l'île de Cat Ba et partons nous balader à vélo vers le village de Viet Hai, situé dans le creux d'une vallée, au mileu des rizières. Retour sur la jonque pour le déjeuner. Nous poursuivons notre navigation, contemplant un paysage toujours changeant selon la lumière et la forme des pitons rocheux. Dans l'après-midi, exploration en kayak d'une grotte. Quoi de mieux pour finir la journée qu'une baignade sur une plage déserte bordant l'un des nombreux îlots de la baie de Lan Ha. Baignade divine dans les eaux tièdes de la baie.
Navigation plein ouest. Temps libre pour nager dans la baie Lan Ha. Puis la jonque gagne l'île de Cat Ba, borne ouest de la baie d'Halong. Nous débarquons et déjeunons au port de Ben Beo. C'est par le ferry public que nous atteignons la grande ville portuaire d'Hai Phong. Départ pour l’aéroport d’Hanoi. Vol à destination de Paris.
Le déroulement de cette journée sera adapté à l'heure de décollage du vol international.
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Réponse de Tirawa
Bonjour,
Nous vous remercions d'avoir pris le temps de répondre à notre enquête de satisfaction. Nous sommes enchantés que ce trek au Vietnam vous ait plu. Concernant votre remarque sur les pourboires, nous comprenons tout à fait votre inconfort. Bien que ceux-ci soient une pratique courante au Vietnam, comme mentionné dans notre documentation, les montants que nous suggérons ne sont qu'à titre indicatif et en aucun cas obligatoires. Nous allons revoir ce point avec nos équipes sur place afin d'améliorer notre approche. Cordialement, L'équipe Tirawa
Balade dans le Haut Tonkin