Savoir faire et expertise
Des voyages élaborés
sur le terrain
Partez pour un voyage passionnant en Éthiopie, depuis les hauts plateaux d’Abyssinie jusqu’au Danakil, l’une des régions les plus arides de la planète ! Nous débutons par le sanctuaire de Lalibela, ville sainte des Chrétiens d’Ethiopie, classé au Patrimoine mondial par l’Unesco. La découverte d’imposantes églises monolithiques marque le premier temps fort. De là, cap vers le Nord avec un trek inédit de 4 jours au cœur du Tigray, cette région montagneuse abritant les plus anciennes églises orthodoxes du pays. Au détour de sentiers méconnus, nous découvrons un massif aussi beau que tourmenté avec de véritables trésors culturels construits ou taillés dans le roc, souvent perchées sur des pitons rocheux. L’aventure se poursuit dans les entrailles de la Terre avec le volcan Dallol, un site géologique unique aussi surréaliste que coloré ! L’observation nocturne du volcan Erta Ale et son lac de lave en fusion conclut en beauté cet itinéraire contrasté.
Vous aimerez
Les + Tirawa
Votre voyage
Un voyage réservé aux randonneurs avec un trek sauvage de 4 jours dans les montagnes du Gheralta. Des étapes de marche entre 5h et 8h par jour en moyenne. Forte chaleur à prendre en compte. Dans la dépression du Danakil, pistes difficiles, fort éloignement et conditions de campement parfois sommaires.
Itinéraire jour par jour
Arrivée dans la matinée à Addis-Abeba, capitale de l'Ethiopie, perchée sur les hauts plateaux, à 2400 mètres d’altitude. Accueil à l’aéroport par notre guide et transfert dans un hôtel du centre-ville. Repos avant d’entamer la découverte d’Addis-Abeba, siège de l’Union Africaine. Afin de bien cerner l’urbanisme de la capitale, nous nous rendons sur la colline d'Entoto, située au nord de la ville, qui culmine à 3200 m d’altitude. C’est de là, dit-t-on, que l’empereur Ménélik et sa femme, l’impératrice Taitu, décidèrent de l’implantation d’Addis-Abeba. Après avoir aperçu une mince colonne de vapeur s’élever dans le ciel, ils se rendirent en cet endroit et y découvrirent des sources chaudes, ainsi qu’une fleur jusqu’alors inconnue. Cet évènement les décida à nommer leur capitale Addis-Abeba, "la nouvelle fleur" en amharique. Redescente sur la ville et visite du musée national abritant quelques trésors archéologiques, dont une copie du squelette de la célèbre Lucy (fossile humanoïde de 3,4 millions d’années). Enfin, découverte de l’ancien palais d’Hailé Sélassié, abritant maintenant le musée d’ethnologie.
Ce matin, envol pour Lalibela, ville sainte des chrétiens d’Ethiopie, perchée à 2400 m d'altitude et classée au Patrimoine mondial par l'Unesco. Abritant de véritables trésors architecturaux, elle constitue aussi le lieu de pèlerinage le plus important du pays. Une belle histoire préside à son édification. Au début du XIIe siècle, dans la province de Wollo, naquit un enfant dont le destin était de devenir roi. A sa naissance, il fut entouré d’un nuage d’abeilles. Voyant dans ces abeilles les soldats qui, un jour, serviraient à ses côtés, sa mère lui donna le nom de Lalibela, "celui dont les abeilles reconnaissent la souveraineté". Devenu roi, Lalibela ordonna la construction de onze églises majestueuses, taillées dans le tuf. A notre arrivée, installation dans notre hôtel et première découverte de Lalibela. En fin de journée, dégustation du tedj, sorte d’hydromel éthiopien.
Journée complète pour découvrir les trésors de Lalibela ; le premier moment fort du voyage ! Ces églises, dont certaines sont entièrement monolithiques furent creusées du toit vers la base. Surnommé la "Jérusalem Noire", le site reproduit les lieux saints reliés par un système de galeries et de souterrains, répartis de part et d’autre d’un cours d’eau symbolisant le Jourdain. Lalibela n’a pas encore dévoilé tous ses secrets, et de nombreuses questions relatives notamment aux techniques architecturales employées occupent encore de nos jours bien des spécialistes. Le matin, visite des églises situées dans la partie nord du site : Beta Medhanialem, l’église la plus grande et la plus haute et Beta Mariam, l’église préférée du roi Lalibela qui présente des décorations et des symboles de croix latines. Poursuite avec la découverte des églises Beta Meskel, Beta Denaghel, Beta Michael et Beta Golgotha. Le début d'après-midi est consacré à la découverte du groupe sud. Chacune de ces églises possède sa propre histoire, enrichie de légendes puissamment ancrées dans la culture populaire. Nombreuses peintures religieuses, symboles et énigmes… Découverte de Beta Emanuel, considérée comme la plus jolie église monolithique éthiopienne, de style axoumite, Beta Merkorios, Beta Gabriel et Raphael et Beta Abba Libanos qui d’après les traditions, est une église qui fut construite en une seule nuit par la femme du roi Lalibela avec l’aide des anges... Nous achevons la visite du site avec l’église en forme de croix, la plus emblématique de la cité, Beta Ghiorghis (Saint Georges). Après la visite, belle balade à pied sur les hauteurs de la ville jusqu’au piton rocheux d’Asheten. Départ depuis l’église de Naakuto Lab, sanctuaire construit à l’intérieur d’une grande caverne de basalte. Par un petit sentier, montée jusqu’à Asheten Maryam, église monolithique magnifiquement située et surplombant Lalibela. Le trésor est constitué de nombreuses croix dont celles de cuivre et de bronze qui auraient appartenu, selon la tradition, aux rois Lalibela et Naakuto Lab. Redescente sur Lalibela par un autre chemin à travers champs cultivés et petits hameaux.
Par la route, long trajet plus au nord jusqu’à Mekele (2050 m), capitale de la région du Tigray et installation dans notre hôtel. Si le temps le permet, découverte du palais de l’empereur Yohannes IV avec ses deux enceintes, construit en 1872 sur les hauteurs de la ville. Il abrite un musée où l’on peut admirer manuscrits, meubles et un trône en bois finement décoré, ainsi que d’autres objets d’intérêt historique.
Départ matinal en véhicule de Mekele pour rejoindre le point de départ de notre trek de 4 jours en traversée, au cœur des superbes montagnes du Gheralta. Première région christianisée d’Éthiopie, le Tigray abrite les plus anciennes églises du pays, construites ou taillées dans le roc. C’est une contrée splendide où ces trésors sont difficilement accessibles ; de nombreuses églises se méritent après plusieurs heures de marche sur des sentiers de montagne. Dans un périmètre assez restreint, quelque 120 sanctuaires se répartissent dans les massifs montagneux du Hawzen, du Gheralta et de l'Atsbi, souvent perdus au milieu de sites naturels majestueux. lci, patrimoine religieux et beauté naturelle ne font qu’un… il faut toute l'abnégation du pèlerin pour accéder à ces merveilles ! Cette première journée de trek débute par une montée progressive menant à la belle église de Yohannes Makudi. L’accès à l’église est enserré entre d’étroites parois de grès. L’intérieur abrite des peintures primitives surprenantes inédites dans la région. Par un autre sentier contournant de belles falaises ocre, descente facile à travers une forêt d’eucalyptus puis remontée le long d’un sentier plus raide menant à une seconde église perchée au sommet de la montagne de Debre Tsion (2297 m d’altitude). Datant du XIVe siècle et dédiée au moine Abouna Abraham, cette église présente une large façade partiellement sculptée et l’intérieur est richement décoré du sol au plafond. Après la découverte, descente par le même sentier avant de bifurquer à travers un large canyon menant à un village bordé de beaux spécimens d’euphorbes candélabres et de figuiers de barbarie. Nous découvrons de jolies maisons en pierres sèches à toit plat, typique de cette région du Tigray. Dans un décor grandiose, dernière étape de marche jusqu’à notre campement de Gudele idéalement situé, à proximité d’un gigantesque sycomore et faisant face à une rangée d'aiguilles rocheuses spectaculaire !
Après le petit-déjeuner, alors que les premiers rayons du soleil enflamme littéralement les aiguilles rocheuses de Dasembet, nous quittons à pied notre camp pour rejoindre un petit col passant à proximité ces tours effilées. Descente sur le village de Korar abritant de belles maisons tigréennes et poursuite dans un vallon pour une montée progressive à travers un décor tout en cactus et offrant de superbes points de vue sur les montagnes environnantes. Nous continuons notre trek à travers un plateau dominé par le Mont Kemer (2660 m d’altitude), plus haut sommet du Gheralta. Par un sentier méconnu et un escalier taillé dans le grès, nous atteignons la montagne de Korkor par le versant ouest. C’est ici que se trouve Maryam Korkor, une imposante église-caverne dédiée à la Vierge. L’église, entièrement taillée dans la roche, est décorée de rares peintures d’influence byzantine (qui pourraient dater du XIVe siècle). Après la visite de cette église, nous installons notre campement à proximité. Un emplacement exceptionnel dominant les grandes plaines du Tigray…
Non loin de notre campement, sur le versant Est de la montagne de Korkor, nous découvrons ce matin l’église de Daniel Korkor, accessible à partir d’une vire rocheuse très impressionnante en à-pic mais non dangereuse. De taille réduite, c’est surtout son environnement et les belles vues plongeantes sur le massif du Gheralta qui en font son principal intérêt. Nous visualisons en particulier notre parcours réalisé ces deux derniers jours. De là, nous démarrons notre longue et belle journée de marche au cœur du massif. Après une partie commune avec l’étape de la veille, nous empruntons un chemin parfois très étroit bordé de cactus, d’euphorbes, à l’aplomb du Mont Kemer (2660 m). Depuis une église abandonnée, l’ascension en aller-retour (1h de marche, 150 m de dénivelé +/-supplémentaire) est facultative car la partie finale permettant d’atteindre cette montagne tabulaire est délicate et nécessite l’usage des mains. Du sommet, la vue à 360° est inoubliable, on domine entre autres le campement de Korkor que nous avons quitté ce matin même. Exploration du plateau et retour par la même sente (avec le passage exposé) avant de poursuivre plein Ouest. Nous profitons en particulier de superbes vues plongeantes sur les aiguilles rocheuses de Guh et progressons sur un chemin en balcon dominant de très belles falaises ocre. Ultime descente sur un terrain rocailleux puis sablonneux jusqu’à notre camp situé dans le village d’Agoza (2050 m). Un lieu propice à nombreuses rencontres avec des villageois et surtout des enfants peu habitués à voir des étrangers dans ce secteur isolé…
Pour cette 4ème étape de trek, nous débutons notre journée de randonnée par une montée régulière menant à un plateau et dominant un superbe cirque rocheux. Par un sentier panoramique en balcon, la vue est très belle et nous apercevons en contrebas les aiguilles effilées de Tewelehe. Au loin, nous distinguons le village de Koraro qui nous atteindrons en fin de journée. En passant à proximité de milliers de cactus, nous poursuivons sur un sentier étroit dominé par d’immenses falaises rouges. Attention toutefois, ces cactus peuvent avoir un peu envahi le chemin, il est utile pour cette étape de prévoir des vêtements couvrants ! En contournant le cirque de Daba Amssalu, descente sur Abuna Gebre Mikael. Accompagnés du prêtre, nous visitons cette église troglodytique remarquablement taillée dans un éperon rocheux, abritant de jolies fresques aux couleurs éclatantes. Dernière étape de descente, avec un court passage dans une faille, jusqu’au village de Koraro (1900 m d'altitude). En milieu d'après-midi, nous retrouvons nos 4x4 pour rejoindre notre lodge situé dans la bourgade de Wukro. En chemin, visite de l’impressionnante église semi-monolithique d’Abreha et Atsbeha, en partie creusée dans la falaise de grès rouge et en partie bâtie. L’intérieur, très vaste, abrite de superbes peintures murales. Après 3 nuits sous tente, nous retrouvons le confort d'un lodge !
Troisième et dernier chapitre de notre voyage en Ethiopie : la dépression volcanique du Danakil ! En 4x4, nous quittons les hauts plateaux éthiopiens du Tigray pour atteindre par une piste cette région hostile située en dessous du niveau de la mer ; changement de décor et changement d’ambiance. A travers un terrain alternant sable et roches volcaniques, nous rejoignons le célèbre volcan Erta Ale, signifiant "montagne fumante", en langue afar. A 613 m d’altitude, il trône au milieu de l’un des déserts les plus inhospitaliers de la planète : le Danakil. La dernière portion de piste traversant un champ de lave volcanique solidifié est très chaotique. En fin d’après-midi, arrivée au camp de base d’Askoma, à 150 m d’altitude : repos et dîner tôt avant d’entreprendre notre marche nocturne. C’est au coucher du soleil, lorsque la température décline, que nous démarrons notre ascension du volcan, accompagnés de dromadaires pour le portage de l’eau, de la nourriture et du matériel pour la nuit. A la lueur de nos lampes frontales, sur un terrain sablonneux qui laisse place à des coulées de lave solidifiées parfois drapées, la montée sur les pentes sud-ouest du massif est très progressive et ne présente aucune difficulté. Après environ 3h de marche, installation du bivouac à la belle étoile au camp supérieur, situé au bord de la caldeira. Le sommet du volcan est occupé par une grande caldeira ovale de 1,8 km de diamètre, remplie par de nombreuses coulées basaltiques récentes. Cette dernière abrite également deux cratères-puits circulaires, régulièrement occupés par un ou deux lacs de lave en fusion. Au coeur de la nuit, descente courte mais raide dans la caldeira et observation de la lave rougeoyante incandescente. A la fois attirant et "effrayant", nous sommes aux premières loges d’un spectacle naturel saisissant dans les entrailles de la terre... Ce phénomène doit sa rareté à la nécessité d’un équilibre permanent entre l’apport et la perte de chaleur, entre l’alimentation et la vidange du magma. Remontée rapide sur le bord de la caldeira et courte nuit en bivouac sous le ciel étoilé !
Pour les 3 prochains jours, la découverte des sites isolés des volcans Erta Ale et Dallol (tous deux proches de la frontière avec Érythrée) nécessite la présence de militaires avec le groupe. > Attention, comme n'importe quel volcan sur terre, l'activité volcanique du Erta Ale est fluctuante. Ce phénomène naturel étant bien entendu imprévisible, on ne garantit pas le niveau élevé du lac de lave, ni son observation optimale. Depuis 2018, le niveau du lac de lave a baissé et des fumées obstruent parfois le cratère, rendant la qualité de l'observation plus aléatoire. Nous maintenons malgré tout l’ascension du volcan car c'est une belle expérience et la situation peut évoluer favorablement.
Réveil matinal afin de profiter du lever de soleil sur la caldeira de l’Erta Ale. Il n’est étudié que depuis 1967 du fait de sa situation particulièrement isolée. A la fraîche, nous descendons par le même sentier que la veille jusqu’au camp de base où nous attendent les 4x4, chauffeurs et cuisinier. Après un solide petit-déjeuner, long trajet par une piste chaotique puis par une route goudronnée pour rejoindre plus au nord le village désolé d’Ahmedila, là où vivent les travailleurs du sel. Selon la période de l'année, rencontre possible avec des caravanes de dromadaires chargées de sel qui traversent le village avant de poursuivre leur lente ascension en direction des hauts plateaux du Tigray plus à l’ouest. En fin d'après-midi, alors que le soleil décline, découverte d’immenses gisements de sel du Lac Karoum, dont certains atteignent deux kilomètres d’épaisseur. Bienvenue dans l’un des environnements les plus hostiles de la planète ! Avec un peu de chance, nous assistons aussi au découpage des briques réalisé par les Afars, qui sont ensuite chargées sur les dromadaires par les Tigréens. Installation du bivouac à l'entrée du village (couchage sur des lits traditionnels en cordage).
A travers les pans de sel asséchés à la luminosité éclatante (lunettes de soleil totalement indispensable !), piste jusqu’au site volcanique du Dallol situé dans la dépression du Danakil, non loin de la frontière avec l'Érythrée. Situé 100 mètres sous le niveau de la mer, au milieu d'un désert de sel, il constitue l'une des régions les plus chaudes de la planète (les températures de plus de 50°C sont courantes). Cette importante zone volcanique se caractérise par une forte activité, avec l’émission continue de fumerolles. Les gaz ont dû traverser une importante couche de sel et de potasse avant de parvenir à l'air libre ; les dépôts ayant formé d'énormes concrétions jaunes, orange et ocre dont certaines de plusieurs mètres de haut. Très peu visité jusqu'à présent, le site encore intact est à couper le souffle. Avec cette palette de couleurs chatoyantes et ces vasques d’acide, ce décor a des allures totalement irréelles ! En continuant notre piste dans cette région aride de l’Afar, nous nous rendons au Canyon de sel abritant de fantastiques formations en colonnes. Retour sur Ahmedila et par une route nouvellement goudronnée, nous quittons cette dépression du Danakil pour rejoindre de nouveau les hauts plateaux du Tigray et sa capitale, Mekele. Nous retrouvons le confort d'un hôtel après 3 jours plus sommaires !
Vol matinal sur Addis-Abeba. Transfert à l’hôtel et mise à disposition d’une chambre d’hôtel pour la journée. Temps libre et repos, derniers achats dans la capitale. Selon l’horaire du vol retour, dîner d’adieu avec spectacle de danses et musiques traditionnelles avant un transfert à l’aéroport pour le vol sur Paris.
Cet itinéraire est compatible avec une extension. Découvrez nos suggestions et
complétez votre voyage !
Voir toutes les extensions
Les avis de nos voyageurs sur ce voyage
Lire notre charte des avis
83.3% de satisfaction client
Éthiopie - Lalibela, Tigray et Erta Ale
9 / 10
15 jours Départ du 18 février 2018
Réponse de Tirawa
Éthiopie - Lalibela, Tigray et Erta Ale
8 / 10
15 jours Départ du 18 février 2018
Réponse de Tirawa
Éthiopie - Lalibela, Tigray et Erta Ale
4 / 10
15 jours Départ du 18 février 2018
Réponse de Tirawa
Éthiopie - Lalibela, Tigray et Erta Ale
8 / 10
15 jours Départ du 18 février 2018
Éthiopie - Lalibela, Tigray et Erta Ale
8 / 10
15 jours Départ du 18 février 2018
Éthiopie - Lalibela, Tigray et Erta Ale
8 / 10
15 jours Départ du 18 février 2018
Tous les avis de l' Éthiopie
Lire notre charte des avis
Éthiopie - Balade en Abyssinie
7 / 10
15 jours Départ du 12 janvier 2020
Éthiopie - Balade en Abyssinie
8 / 10
15 jours Départ du 12 janvier 2020
Réponse de Tirawa
Bonjour, nous sommes ravis que ce voyage en Ethiopie vous ait plu et que l’équipe locale ait porté beaucoup d’attention à votre confort. Nous avons bien noté vos 2 remarques, qui nous aideront à encore améliorer le voyage. Concernant la randonnée à Mariam Korkor, elle reste facultative et peut être remplacée par une marche plus facile sur le plat. Pour les célébrations de Timkat, nous avons privilégié un hébergement plus confortable, mais comme l’organisation des festivités n’est pas très structurée, finalement cet hébergement s’est avéré un peu éloigné des lieux de célébrations. Nous y porterons une attention particulière pour les prochains départs. Bien à vous, l’équipe Tirawa
Éthiopie - Balade en Abyssinie
8 / 10
15 jours Départ du 12 janvier 2020
Réponse de Tirawa
Bonjour, nous sommes ravis que ce voyage en Ethiopie vous ait enchantés ! Effectivement, la randonnée d'accès à l'imposante église-caverne Maryam Korkor, est assez difficile mais exceptionnelle et magnifique. C'est la raison pour laquelle nous la maintenons dans le programme mais de façon optionnelle. Il est ainsi bien précisé dans notre fiche technique que pour les personnes sujettes au vertige, elle peut être remplacée par une marche plus facile sur le plat. Bien à vous, l'équipe Tirawa.
Lalibela, Tigray et Erta Ale