La géographie : la chaîne du Pamir, une immense muraille, pratiquement rectiligne et très longue, à son pied, la large vallée de la Rivière rouge, Kezil Suu, et de l'autre côté de la vallée, la chaîne, un net cran plus bas, du Pamir Alaï (si je ne me trompe pas sur son nom). Je pense qu'il n'y a rien d'équivalent au monde.
Le plaisir, toujours aimé, des chemins, et aussi de l'absence de chemins, dans des paysages rencontrés nulle part ailleurs, renouvelés sinon de pas à pas,...
Lire la suite
La géographie : la chaîne du Pamir, une immense muraille, pratiquement rectiligne et très longue, à son pied, la large vallée de la Rivière rouge, Kezil Suu, et de l'autre côté de la vallée, la chaîne, un net cran plus bas, du Pamir Alaï (si je ne me trompe pas sur son nom). Je pense qu'il n'y a rien d'équivalent au monde.
Le plaisir, toujours aimé, des chemins, et aussi de l'absence de chemins, dans des paysages rencontrés nulle part ailleurs, renouvelés sinon de pas à pas, du moins d'instant en instant.
La botanique : nulle part ailleurs je n'ai eu l'impression que chaque vallée, chaque tronçon de vallée, avait sa fleur emblématique, et quand il y a une fleur, il y en a mille, ici des asphodèles, là des edelweiss, des aster, des gentianes, de la ciboulette géante, d'autres totalement inconnues. L'altitude aidant, nombreuses étaient les fleurs en pleine floraison en ce moi d'août.
L'hospitalité tellement naturelle aux kirghizes : ils se doivent d'offrir sans même réfléchir un pain etc